Les investisseurs en quête de rendement savent que les 3 grandes classes d’actifs sont en ce moment sur-évaluées :
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La valeur de l’immobilier ancien, bien qu’en léger repli depuis 2012, reste obstinément installée au-dessus du tunnel de Friggit ;
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Le CAC 40 Net Return est à son plus haut historique ;
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Le rendement des obligations d’Etat de bonne signature est à un plus bas historique.
La question qui vient à l’esprit dans cette situation est la suivante : quelle est le scénario catastrophe le plus probable à court/moyen terme : un krach immobilier, un krach boursier ou un krach obligataire ?
Corollaire à cette question : comment notre patrimoine encaisserait-il le choc ? La réponse va bien sûr dépendre du scénario qui se réalisera et de la diversification de notre patrimoine.
Si nous n’avons aucun contrôle sur le scénario, nous pouvons estimer un ordre de grandeur de chaque krach potentiel, et en calculer l’impact sur notre patrimoine. L’idéal serait, en fonction du scénario jugé le plus probable, de modifier la diversification de notre patrimoine. Plus facile à dire qu’à faire…